Plus tard, les rivières ont fini par poser problème, à cause de leurs crues et pour des questions de salubrité. La Place de la Palud, dont le nom se réfère à un marécage (et au paludisme), en témoigne. En ville, elles ont ainsi été canalisées et voûtées au XIXe siècle. Seule une petite portion de la Louve est encore visible, dans le parking de la Riponne.