Quelques années plus tard, la nature avait déjà donné raison aux forestiers. De nombreux jeunes arbres s’y étaient épanouis, dans une dynamique totalment naturelle. Aux épicéas succédèrent diverses eespèces, telles que le saule, le framboisier et le sorbier des oiseleurs – avec ses feuilles composées, ses fleurs blanches en ombelle et ses fruits orange que l’on peut observer en automne. Quant aux herbes, elles sont souvent les mêmes que celles observées dans la forêt dévastée par l’ouragan Vivianne (poste 1), soit: la laitue des Alpes, l’épilobe à feuilles étroites ou encore la luzule blanc-de-neige.